Trop se presser le matin nuit gravement à la créativité.
C'est le constat d'une récente étude publiée par une jeune chercheuse canadienne, Ruby Nadler, dans la revue "Psychological Science".
Mieux vaut au contraire, rêvasser et laisser son esprit vagabonder pour profiter du pic de créativité qui suit le réveil, moment où les procédés mentaux inhibants sont à leur plus bas niveau et lâchent la bride au cerveau. Celui-ci peut alors opérer des connexions inattendues qui, parfois, se révèlent très fructueuses !
C'est le constat d'une récente étude publiée par une jeune chercheuse canadienne, Ruby Nadler, dans la revue "Psychological Science".
Mieux vaut au contraire, rêvasser et laisser son esprit vagabonder pour profiter du pic de créativité qui suit le réveil, moment où les procédés mentaux inhibants sont à leur plus bas niveau et lâchent la bride au cerveau. Celui-ci peut alors opérer des connexions inattendues qui, parfois, se révèlent très fructueuses !
Source CLES n° 76 Avril-Mai 2012
Repéré et illustré par Brigitte de Chiffreville